Ô Rage 2

Présentation

Le GN Ô Rage continue, dans un monde post-apocalyptique où un virus hautement transmissible par l’eau sévit. Ce GN est axé sur le relationnel entre les personnages qui doivent faire des choix moraux et dans lequel il existe la possibilité d’avoir un début semi-itinérant, comme au premier opus de ce jeu.

Synopsis

“ça fait deux ans, presque au jour près, que le virus de la rage muté a explosé la civilisation. Les gouvernements tiennent encore debout, tant bien que mal, mais les sources d’eau potable non contaminées se font de plus en plus rares. Le vaccin? Les rumeurs courent que les plus riches ont mis la main dessus, mais le reste de la population n’en a pas vu la couleur. Nous serions condamnés si cette chercheuse grecque n’avait pas fait la miraculeuse découverte de l’algue Anabaena azollae, maintenant appelée plus communément l’anabena. L’anabena permet en effet de purifier l’eau de ce foutu virus. Les plus grandes entreprises ont évidemment essayé d’en faire fortune, même en ces temps difficiles, mais quand la population a découvert qu’il était possible de propager ses propres algues aisément, les prix ont chuté et l’algue devena rapidement accessible à tous.
Voilà où on en est actuellement. La société est toujours en miettes, mais se reconstruit doucement… cependant, un mystère persiste. Bien que le nombre d’infectés ait été largement réduit, il y en a toujours… et ils sont devenus bien plus agressifs qu’avant, et le pire, c’est que personne n’arrive à mettre le doigt sur la cause de cette agression exacerbée. Leur force décuplée, on en oublie très vite leur nature humaine qui semble avoir tout simplement disparu. Quelque chose me dit que toute cette histoire est loin d’être terminée.”

Informations utiles

• Nombre de places PJ: 35 à 45 joueurs
• Prix en CHF: 80.- (+10.- avec rôle fourni par l’orga) (+5.- avec petit-dej dimanche)
• Durée du jeu: de samedi 13h à dimanche 2h (14h)
• Dodo sur place inclus ainsi que le repas du soir
• À priori, pass sanitaire obligatoire (changements possibles selon l’évolution des restrictions sanitaires en Suisse)