Eormengrund Apocalypse
Présentation du jeu
Synopsis
Une année s’est écoulée depuis la fermeture des derniers portails. Les habitants d’Eormengrund ont trouvé la paix et se sont donnés les moyens de vivre ensemble. 3 quartiers se développent par réunion et affinités de leurs habitants, quelques soient leurs origines. Anthropolis accueille les habitants les plus paisibles, les esthètes, mages, penseurs, artistes et académies. Des pièces de théâtre y sont données, tandis que les esthètes philosophent en marchant le long des allées de la place Idoine. Un autre faubourg appelé le quartier français en souvenir de ses premiers résidents, s’est développé autour des activités nocturnes, les jeux, les tavernes et autres réjouissances. Un troisième quartier s’est formé autour de lieux de commerces et rassemble des artisans, des guildes et des marchés.
Désormais, les camps réunis par monde d’origine appartiennent au passé même si chacun garde en lui son identité et ses racines. Les habitants n’ont plus aucun contact avec les mondes d’origine. La zone du vide a cessé de s’étendre mais elle est toujours présente. Il arrive parfois que des imprudents y disparaissent par mégarde ou par suicide. Elle est pourtant gardée et entourée d’une solide palissade. Une stèle a été déposée à l’endroit où Vlad est tombé pour commémorer la 1ère victoire commune du peuple d’Eormengrund. L’autel et les fétiches Orc qui ont servi à invoquer Mawu sont présents et préservés comme des vestiges pour les générations futures. Une volonté de créer une culture commune se développe.
Pour comprendre le phénomène et tenter de percer les mystères du nouveau monde, les mages invoquent régulièrement les ombres dans un rituel. Celles-ci viennent visiter la colonie puis repartent comme elles sont venues. Le moment est venu pour Eormengrund de se doter d’un gouvernement, d’un tribunal et d’une force de l’ordre. Pendant ce temps, les autres plans ont renoncé à surveiller les emplacements des anciens portails. Les accès au nouveau monde semblent être définitivement condamnés. La vie suit son cours malgré l’apparition de phénomènes naturels inquiétants qui montent en puissance.